Haliburton crucifie les Knicks au Madison Square Garden
La nuit du 21 au 22 mai 2025 restera dans les annales des Finales de Conférence Est. Au terme d’un Game 1 à suspense, les Indiana Pacers ont renversé les New York Knicks sur le score de 138-135 après prolongation, dans un Madison Square Garden en feu. Retour sur un match déjà entré dans la légende.
Une remontée historique
Alors que les Knicks menaient de 17 points à six minutes de la fin, le match semblait plié. Mais c’était sans compter sur la grinta et le talent de Tyrese Haliburton. Le meneur All-Star a pris feu dans le money time, alignant paniers extérieurs, drives incisifs et passes lumineuses. Il termine la rencontre avec 31 points, 11 passes et une interception décisive. C’est lui qui, d’un tir désespéré à trois points dans la dernière seconde du temps réglementaire, a envoyé le match en prolongation.
Un comeback d’une rare intensité, où les Pacers ont infligé un 21-4 dans les cinq dernières minutes. Les Knicks, trop passifs, ont vu leur avance fondre comme neige au soleil.
Haliburton, général des opérations
Il est clair que ce Game 1 appartient à Tyrese Haliburton. Auteur d’une prestation exceptionnelle, il a été le véritable catalyseur de l’exploit. Sa vision du jeu, sa gestion des pick and rolls, sa lucidité dans les moments chauds ont été décisifs. Il a constamment mis ses coéquipiers dans les meilleures dispositions, notamment Aaron Nesmith (19 pts), Obi Toppin (17 pts) et Myles Turner (22 pts).
En face, Jalen Brunson (38 points) a pourtant porté les siens avec courage. Mais l’attaque des Knicks a été trop prévisible dans le money time, et la défense trop friable. Julius Randle (24 pts, 7 pertes de balle) a été en demi-teinte.
Une défaite qui fait mal aux Knicks
Pour New York, cette défaite a un goût amer. Dominer pendant trois quart-temps pour finalement s’effondrer dans les derniers instants est le scénario cauchemardesque par excellence. Tom Thibodeau va devoir remobiliser son groupe, tant mentalement que tactiquement.
L’ambiance au Garden était électrique, les fans rugissaient à chaque panier. Mais ce sont les Pacers qui ont eu le dernier mot. Une démonstration de caractère et de sang-froid de la part d’une équipe souvent sous-estimée.
Pacers : l’esprit de conquête
Cette victoire, les Pacers ne l’ont pas volée. Portés par un Haliburton en mode patron, ils ont fait preuve de résilience, de discipline et d’une foi collective remarquable. Rick Carlisle a parfaitement géré sa rotation, avec un banc impliqué et efficace.
Indiana a joué sans complexe, avec du rythme, de l’audace et de l’énergie. Ce premier match gagné à l’extérieur change la dynamique de la série. Les Pacers ont pris l’avantage psychologique, et on les sent prêts à en découdre.
Game 2 : pression maximale sur les Knicks
New York n’aura pas le droit à l’erreur dans le Game 2. Un nouveau faux pas à domicile placerait les Pacers dans une position idéale pour conclure la série. Les ajustements devront être nombreux : meilleure gestion du tempo, sécurisation du ballon, et surtout retrouver l’énergie défensive qui a fait leur force tout au long de la saison.
Haliburton a envoyé un message clair : il veut ces Finales NBA. Et les Knicks sont prévenus, il faudra une réaction de champion.
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Haliburton stuns the Knicks at Madison Square Garden
The night of May 21 to 22, 2025, will go down as one of the most memorable in recent Eastern Conference Finals history. In a dramatic Game 1, the Indiana Pacers pulled off a stunning comeback to defeat the New York Knicks 138-135 in overtime at a roaring Madison Square Garden. Let’s dive into a game already carved into NBA playoff legend.
A Historic Comeback
With six minutes left, the Knicks were up by 17 points. The game seemed over. But Tyrese Haliburton had other ideas. The All-Star point guard caught fire in the clutch, draining deep threes, slashing through the lane, and delivering perfect dimes. He finished the game with 31 points, 11 assists, and a game-saving three-pointer in the final seconds of regulation.
The Pacers closed the fourth quarter on a stunning 21-4 run, flipping the momentum entirely. New York crumbled under pressure, as their offense stalled and their defense let up.
Haliburton the Commander
Game 1 belonged to Haliburton. His masterful performance was the catalyst for Indiana’s comeback. With excellent court vision, elite pick-and-roll play, and nerves of steel, he guided his team to victory. He made sure teammates like Aaron Nesmith (19 pts), Obi Toppin (17 pts), and Myles Turner (22 pts) got clean looks all night.
On the other side, Jalen Brunson poured in 38 points and led the Knicks with heart. But New York’s offense became predictable in crunch time, and their defense failed to step up. Julius Randle added 24 points but committed 7 turnovers and looked out of rhythm when it mattered.
Painful Loss for the Knicks
For New York, this loss stings. To lead most of the game, only to collapse in the final moments, is a nightmare scenario. Coach Tom Thibodeau now faces the challenge of regrouping his team mentally and tactically.
The Garden was on fire for most of the night, erupting with every Knicks bucket. But in the end, it was the Pacers who silenced the crowd. Indiana showed resilience, poise, and the type of grit that defines playoff success.
Pacers Bring the Fire
Indiana didn’t steal this game—they earned it. With Haliburton playing like a seasoned general, the Pacers executed with discipline and heart. Rick Carlisle managed rotations brilliantly, getting major contributions from his bench.
They played fast, confident, and free. Stealing Game 1 on the road gives them a massive psychological edge. This team, often underestimated, is now setting the tone in the series.
Game 2: All the Pressure on New York
The Knicks are now in a must-win situation for Game 2. Another loss at home would hand Indiana a commanding lead in the series. Adjustments are urgent: control the tempo, protect the ball, and rediscover the defensive tenacity that defined their regular season.
Haliburton has sent a clear message: he wants the NBA Finals. The Knicks have been warned—they’ll need a champion’s response.
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